A la lumière de ce document qui, du reste, est intitulé « LE SAVIEZ-VOUS ? », nous avons pu découvrir l’origine et l’implantation en Amérique Latine de ce « monocotylédone » de la famille des Arécacées, d’où son appellation latine de « ELAEIS GUINEENSIS ».
Qu’il nous soit permis de remercier son auteur pour ce niveau d’enrichissement culturel au travers ce dossier très technique qu’il a pu aborder avec beaucoup de connaissances de terrain.
Il est vrai qu’à la lecture de cet article, nous avions pu relever l’apport de ce végétal dans la vie de l’Homme, quant à son utilité et ses différentes utilisations domestiques et alimentaires.
Ce document nous a permis aussi de comprendre les inégalités et disparités qui existent entre les producteurs traditionnels africains (Guinée, Bénin, Sénégal, Nigeria, Cameroun, Côte d’Ivoire, Rdc et autres) ; et les concurrents en Asie (Malaisie, Indonésie) ; en Amérique du Sud (Colombie, Equateur).
Là dessus, nous aurons retenu que les bénéfices de la commercialisation de cette plante ne profitent qu’à ces autres pays qui disposent, d’ailleurs, d’énormes plantations agro-industrielles.
Ainsi l’importante rentabilité de cette culture constitue un facteur majeur de la déforestation dans certains pays.
Enfin la grande leçon aura été de nous convier à la protection et la défense des intérêts de nos multiples richesses bradées au nom d’une soi-disant « coopération », à l’instar de celle que la CHINE nous propose aujourd’hui en RDC.
Oh mon DIEU ! si le protectionnisme pouvait être la panacée à l’exploitation anarchique des richesses dans nos pays et villages, notre patrimoine ne risquerait rien.
Pièces jointes :
Fruits du palmier à huile au Sénégal
Plantations de palmiers à huile en Colombie
Maufranc MONGAI
Président ACUBO
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