SORTIE PARISIENNE DE LA DIASPORA BOMBOMA
Dans les lignes qui suivent, je me propose de vous présenter l’Association ACUBO, les Bomboma qui en sont les premiers bénéficiaires et les défis qui les attendent pour peu qu’ils soient conscients que le développement de leur pays ancestral, la valorisation de leur patrimoine ethnoculturel et le travail d’écriture de leur histoire ne pourront se réaliser sans leur engagement visible et efficace. Personne ne saura mieux qu’un Bomboma défendre et promouvoir la culture bomboma. J’espère que ce que la Diaspora Bomboma venait de réaliser dans la soirée du 29 mars 2008 en la présentation officielle de leur Association s’inscrit dans cette dynamique d’implication de tous les Bomboma, et de leurs amis, où qu’ils soient et quel que soit leur travail, à oser participer à sortir notre peuple de son quasi-sempiternel enclavement et de son retard dans l’amélioration de sa condition de vie.
Les trois points ci-après sont développés dans le texte de la pièce jointe où il y a quelques photographies de la Spéciale soirée en l’honneur d’ACUBO et de la Diaspora Bomboma en Occident.
1. Sortie parisienne de l’Asbl ACUBO
2. Et alors les Bomboma, qui sont-ils ?
3. Appel à un sursaut patriotique Bomboma
A la faveur du printemps, les Congolais d’origine ethnique et apparentée Bomboma ont procédé le 29 mars 2008 à Paris (Porte de la Chapelle) à la présentation officielle de leur Association culturelle ACUBO, qui signifie Agir pour la CUlture BOmboma.
A cet effet, la soirée culturelle et festive offerte par la diaspora Bomboma des pays précités se déroula avec brio en trois temps :
1. Séance de diapo et de vidéorama sur le « pays Bomboma » : son histoire, sa culture, ses atouts naturels et ses défis actuels ;
2. Repas de fête encadré par deux allocutions de bienvenue (par le Président) et de circonstance (par le Conseiller Culturel) ;
3. Animation culturelle et musicale avec l’artiste bomboma Peby Mambianga et d’autres artistes Congolais : M. Nzenze, Mama Isa Lafleur, M. Otis Mbuta et M. Lodi.
Inutile de vous dire que les passionnés de la musique traditionnelle et surtout moderne zaïro-congolaise n’ont pas regretté d’avoir fait le déplacement en l’honneur d’ACUBO. Quoiqu’en ce même jour certains invités d’ACUBO eussent été, quelques heures auparavant, aux côtés de nombreux compatriotes, à la paroisse congolaise de Blanc-Mesnil et au cimetière de Pantin, pour conduire à sa dernière demeure Madame Marie-Louise Likuse, celle que les ex- Zaïrois et bien d’autres admirateurs de la « sape » et de la musique zaïro-congolaise avaient appris à connaître et admirer sous les noms affectueux de « Madame ya Poto » et «Mère Malou Première ». Patriotisme oblige, n’est-ce pas ?
MERCI DE LIRE LA SUITE EN PIECE JOINTE ET DANS LE FORUM D’ECHANGE
Gilbert TEMBO giltem@bomboma.org
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