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Vient de paraître : « L'ENNEMI DU NOIR C'EST LE NOIR, L'ENNEMI DE L'AFRIQUE C'EST L'AFRICAIN ».
du Jeudi 27/09/2012 à 10:48
publiée par Maufranc Mongai

Premier ouvrage de Ketsia Béatrice BOUANGA SAFOU (Ecrivaine de 20 ans et née à Brazzaville) ;
Paru début septembre 2012 en France aux éditions " Edilivre " dans la Collection " Tremplin ".

Disponible par Internet sur " amazon.fr " ; " rueducommerce.fr " ; " sobook.fr ".
Mis en ligne sur le site d' ACUBO par votre serviteur Maufranc MONGAI


LIVRE DE KETSIA BÉATRICE BOUANGA SAFOU :
« L'ENNEMI DU NOIR C'EST LE NOIR, L'ENNEMI DE L'AFRIQUE C'EST L'AFRICAIN ».









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Fraichement paru en France aux éditions « Edilivre » dans la collection « Tremplin », est le premier ouvrage de Ketsia Béatrice Bouanga Safou. Par Philippe Edouard.


Agée de 20 ans, Ketsia Béatrice Bouanga Safou, écrivaine congolaise (Congo-Brazzaville) présente son livre « L'ennemi du Noir c'est le Noir, l'ennemi de l'Afrique c'est l'Africain ».

Etudiante en systèmes et réseaux informatique à Paris, Ketsia Béatrice Bouanga Safou vient de faire ses premiers pas dans le monde du livre avec « L'ennemi du noir c'est le noir, l'ennemi de l'Afrique c'est l'Africain », recueil de pensées en forme d'essai, dénonçant la discrimination des noirs entre eux et évoquant par ailleurs une certaine mentalité Africaine qui, selon elle, nuit à l'évolution du continent Africain.

Un recueil sans concession pour cette jeune Congolaise, née à Brazzaville il y a tout juste vingt ans et qui grandira à Pointe Noire, élevée tout d'abord par son grand père dans le quartier de Mpita puis par sa grand-mère et sa tante à Mouyondzi.
« De cette enfance, j'ai gardé en mémoire les instants magiques de la Foire de Pointe Noire, gardé encore le souvenir d'un seul et même lit partagé avec mes cousines, et garderai toujours cet amour profond pour ma grand-mère, Marianne, aujourd'hui âgée de cent deux ans, véritable Dieu à mes yeux ».

Passée par l'école primaire La Source dans le quartier « OCH » et par le collège à « Fernand Nathan » du côté de Tié-Tié à Pointe-Noire (Congo-Brazzaville), Ketsia n'a que quatorze ans lorsqu'elle laisse derrière elle sa patrie le Congo pour rejoindre en France ses parents qu'elle n'a pas vu depuis cinq longues années !

« JE N'ÉTAIS QU'UNE BLÉDARDE »

« Je me suis sentie totalement déracinée, découvrant une autre culture, une autre politique et une mentalité très différente de l'Afrique. Je m'étonnais par exemple de savoir que l'on plaçait les personnes âgées en maison de retraite. Une maison de retraite ? Je ne savais pas ce que c'était ! Comment simplement pouvoir l'imaginer lorsqu'en Afrique nous prenons soin de nos + vieux + que l'on garde précieusement à la maison.

Oui, c'était pour mon jeune âge un véritable autre monde, allant jusqu'à avoir peur des fermetures automatiques des portes dans le métro Parisien persuadée que j'allais être coupée en deux. Alors, forcément, pour les autres Noirs, je n'étais qu'une blédarde ! J'ai vécu ces paroles blessantes comme une forme de discrimination et de ma révolte intérieure est né alors ce besoin - presque une obligation - d'écrire ».

« UN CRI DE COEUR DE 40 PAGES »

Aimant à souligner les proverbes, Ketsia, si elle ne sait pas où elle va, « noircit » donc les pages blanches pour écrire d'où elle vient. « Non. + L'ennemi du noir c'est le noir + n'est pas mon premier livre mais, comme je ne m'imaginais pas écrivain, je n'avais jamais cherché avant cela à être publiée.

Il me restait pourtant cette révolte dans le ventre, ce goût amer sur une certaine mentalité Africaine qui freine donc à mon sens son évolution, qu'elle soit morale, économique ou encore technologique. J'ai donc adressé mon manuscrit à une cinquantaine d'éditeurs sans jamais me décourager devant les murs dressés sur ma route, pour au final connaitre la joie de voir mon manuscrit retenu chez + Edilivre +.
Car, quand bien même mes pensées sont autant de gouttes d'eau dans l'océan, j'aimerai tant que la République du Congo et toute l'Afrique avec elle, puisse enfin se tourner vers les richesses qui lui appartiennent pour résoudre ses propres maux ».
Pour ce cri du cœur résumé en seulement quarante pages, nul manque d'inspiration, l'écrivain délivrant à ses yeux l'essentiel du message qu'elle souhaite faire passer et citant pour s'en justifier s'il le fallait cet autre proverbe : « Comme un seul mot peut tout signifier ! Comme mille paroles peuvent être insensées ! ».
Marquée par des personnalités telles que Marthin Luther King ou Nelson Mandela, citant encore et volontiers « Steve Jobs » de Walter Isaacson ou encore « Lettre à la jeunesse » de Rama Yade du côté des livres qu'elle affectionne, sans oublier ses penchants pour la philosophie de Socrate ou la spiritualité de « Dalaï-Lama », la jeune Ketsia ne compte pas s'arrêter en chemin et ambitionne un autre livre dont elle a déjà le titre de « Leçons de vie ».

VIDÉO : >> L'ÉCRIVAINE CONGOLAISE KETSIA BÉATRICE BOUANGA SAFOU, PRÉSENTE SON LIVRE « L'ENNEMI DU NOIR C'EST LE NOIR, L'ENNEMI DE L'AFRIQUE C'EST L'AFRICAIN ».

NOTE :
« L'ennemi du noir c'est le noir, l'ennemi de l'Afrique c'est l'Africain ».
Paru aux éditions « Edilivre »
Collection « Tremplin »
Disponible par Internet sur « amazon.fr », « rueducommerce.fr », « sobook.fr ».


Cordialement,
La Direction du RÉSEAU NERRATI-PRESS.



 
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